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EA Guingamp : Razzagui donne de ses nouvelles

Abdoula Razagui Camara est absent depuis quatre mois suite à une rupture des ligaments croisés. Aujourd’hui en traitement, l’international guinéen a raconté à Ouest-France comment il passe ses journées, loin du terrain, et où en est sa blessure.

De retour d’une mésaventure en championship anglaise avec Derby County, le natif de Mamou est venu se relancer à l’été dernier à Guingamp. Six mois après son arrivée, Abdoul Camara est victime d’une rupture des ligaments croisés et est déclaré out pour le reste de la saison.

A Capbreton où il suit son traitement après son opération de décembre, l’attaquant du syli national a été interrogé par le journal français. Un centre où se retrouvent des sportifs venus de tout bord. Il y prend du plaisir et profite de son séjour pour créer de nouveaux liens. « C’est un peu comme une colonie : on fait des loups, on joue aux cartes… On fait tellement d’efforts qu’il faut profiter, s’évader. On rigole beaucoup avec tout le monde, c’est une manière d’évacuer. Je rencontre aussi des convalescents de tous les milieux, dont des sportifs amateurs. C’est là que je mesure la chance que j’ai, d’avoir des moyens aussi poussés à Guingamp. Moi, c’est mon métier. Et très honnêtement, je n’ai pas à me plaindre. Une telle blessure, pour les footballeurs professionnels, ça se soigne vraiment bien. Pour certains, c’est beaucoup plus long. J’ai des amis, ici, qui reviennent pour la 7e fois. C’est énorme. Le suivi n’est pas le même. Mais on échange, on discute. Trois semaines, c’est long mais ça rapproche » livre-t-il.

Le retour à la compétition est encore loin pour le gaucher guinéen. Il devra passer au minimum deux autres mois avant de songer à revenir. Les nouvelles sont toutefois rassurantes quant-à l’évolution de la blessure. « Et puis surtout, je progresse encore au niveau de mon genou. Je commence les sauts, petit à petit. Sur le premier, j’ai eu peur que ça répète. Avant de te lancer, tu redemandes, au cas où, au médecin s’il n’y a aucun risque. Maintenant, je suis en confiance. J’ai repris la course, toujours sur l’Alter-G (appareil anti-gravité), la machine qui m’avait déjà permis de remarcher. Là, j’ai vraiment le sentiment de franchir une grosse étape. Je retrouve les sensations d’un sportif : l’effort, la sueur… » a-t-il expliqué.

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