Mondial U20 : la Guinée sera qualifiée en huitièmes si…

La Guinée affronte pour son troisième match de la coupe du monde des U20 l’Argentine ce vendredi (11h GMT). Avant ce match capital pour le syli junior, notre rédaction fait le point sur les différents scénarios auxquels le syli pourrait être confronté.

De retour à la coupe du monde après 38 ans d’absence, la Guinée a manqué le coche face à la Corée du Sud pour son entrée en lice. Une lourde défaite (3-0) face au pays organisateur qui a sonné comme une véritable désillusion dans le camp guinéen. Plus tard contre l’Angleterre, les juniors guinéens se sont plutôt repris et ont accroché le point du nul (1-1). Voilà qui leur permet de rêver d’une éventuelle qualification en huitièmes de finales.

Victoire impérative face à l’Argentine

Pour que la machine à calculer soit prise afin de voir les possibilités de qualification du syli, il faudra impérativement une victoire contre l’Albiceleste. En cas de défaite, la Guinée devra simplement et bonnement plier bagages et quitter la compétition.

Un appui de la Corée du Sud

Si l’Angleterre s’incline sur le score de 4-0 et que la Guinée gagne 3-0 son match de ce vendredi, l’équipe de Mandjou Diallo finirait grâce à ses quatre points à la deuxième place du groupe A avec une meilleur différence de buts que les Young Lions qui auront également quatre points. Mais si les Anglais obtiennent ne serait-ce qu’un point face au pays hôte, cette option sera à écarter.

Finir parmi les quatre meilleurs troisièmes

L’Angleterre peut aussi gagner contre la Corée et que la Guinée ne soit pas éliminée. Mais une fois encore à la seule condition qu’elle s’impose devant l’Argentine. Le cas échéant, elle pourra se positionner pour finir parmi les meilleurs troisièmes. Au terme des deux premières journées dans tous les groupes, le syli est pour l’heure devancé par l’Allemagne, l’Arabie Saoudite, le Japon et le Portugal. Donc virtuellement, la Guinée démarre son match contre l’Argentine éliminée. C’est dire combien de fois la pression est sur les épaules des coéquipiers de Jules Kéita.